Recherche par auteur : Louis, René
2 résultats.
Lu par : Yvette Tarchini
Durée : 9h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 4218
Résumé:Tristan conduit Iseult la Blonde vers son futur époux, le roi Marc. A bord du navire, avant que les côtes de Cornouaille ne soient en vue, ils boivent un philtre qui les unit l'un à l'autre, pour trois ans, d'un amour indissoluble. Mais les noces d'Iseult et du roi seront célébrées et de l'amour les amants ne connaîtront que la souffrance. Racontée mille et une fois, cette vieille légende celte s'était déformée. S'inspirant des manuscrits du XIIe et XIIIe siècle, René Louis a rendu à ce conte sauvage, bercé par la mer et le vent de la forêt, la force de ses origines. L'intrépide Iseult n'a jamais été la victime d'un sortilège, elle boit le vin herbé de son plein gré, pour se donner tout entière à l'amour. Et Tristan, héros invincible et tueur de monstres, est vaincu non par le destin mais par la femme aimée à laquelle il sacrifie sa vie.
Lu par : Yvette Théraulaz
Durée : 3h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19591
Résumé:Cette œuvre magistrale est un long monologue du narrateur qui confie au lecteur son étrange maladie: il a un besoin incessant de parler, de se mettre en spectacle en société...L'auteur va donc prendre le ton de la confession sincère en refusant tout artifice de la littérature: il l'affirme haut et fort au début du roman en déclarant au lecteur qu'il n'utilisera pas les fioritures littéraires telles que la métaphore. Le but n'est pas d'émouvoir: il faut refuser le lyrisme en ne disant ce qui est la stricte vérité. L'auteur use donc d'un ton froid pour nous conter les aventures qui lui sont arrivées lors d'une soirée mondaine: il s'est mis à monologuer devant la foule stupéfaite puis, soumis à la honte, s'enfuit dans la nuit....A la fin de ce récit, un formidable coup de théâtre secoue le lecteur....La troisième partie du roman est une formidable réflexion sur les enjeux de la littérature et le pouvoir démiurge de l'écrivain qui se joue sans cesse du lecteur. Et si toute la littérature n'était que pure bavardage ou simple mystification ? Le bavard est incontestablement un chef d'œuvre sur les rapports ambivalents existant entre l'auteur et ses lecteurs. (http://passiondeslivres.over-blog.com)